Ça te manque à toi, le shopping en boutique ?
Parce que j'ai trouvé la parade.
Parce que j'ai trouvé la parade.
Tu prends l'exemple de A., 5 ans, trop jouasse.
- Regarde mon nouveau sac, mamounette, il est invisible !
Tu vois, tu te poses des problèmes inutiles dans la vie...
Là, où je me suis en revanche inquiétée c'est quand elle m'a sorti :
- Maman, tu veux voir mon string ?
Jusqu'à ce que je réalise que c'était l'élastique de mes neufs ans mais à six euros (multicolore, ils en profitent !) et qui avait changé de nom pour rajeunir, comme les Picorette de Nestlé et de mon enfance. (Les KitKat Ball de ton ciné, ce sont les Picorette de mon siècle dernier, oui Madame.)
Du reste, je tiens à m'excuser platement auprès du personnel d'Amazon. C'était un achat de première nécessité, d'après mon enfant.
Sinon, tu parviens à faire Le parachute, toi ?
L'idée du string a fait son chemin. J'ai eu un flash penderie. Quand je pourrais à nouveau folâtrer sur les trottoirs, on serait mi-mai (au minimum. Je me fais du mal, là...). Je pouvais bazarder mes fringues méga éculées de l'hiver ! Ranger les bottines, ressemelées dix fois, dans les placards plutôt que de les laisser traîner partout dans l'entrée ! Me pendre avec mes écharpes !
Alors j'ai dit à l'Homme :
- Chéri, demain, je fais du rangement dans mes affaires.
Et tu sais ce qu'il m'a rétorqué ?
- Ne remets pas à demain ce que tu peux faire le mois prochain.
